Hexion
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28.02.22Résultats des votes de la semaine.
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Invité
Invité

Callista Redmond


Malenia Blade of Miquella • Elden Ring.

1352 ans.

Ailée.

Homosexuelle.

Tharis.

Forgeronne.

Physique et mental


1m99 • carrure massive aux épaules larges et imposantes • dégage une certaine prestance • voix à la fois forte mais bienveillante • longs cheveux roux flamboyant bouclés chutant jusqu’à ses reins, souvent laissés détachés ou tressés sur le côté lorsqu’elle travaille • joue droite abimée par une ancienne brûlure dont elle n’a pas souvenir • corps malmené par les années • longues ailes crème qu’elle ne laisse apparaître que très rarement • yeux orangés, tirant vers un doré assez chaud

Frappe Callista.
Frappe le fer.
Défoule-toi.

Laisse tes muscles rouler, ta carrure s’élancer.
Tu as la prestance d’un monstre, d’une bête.
Violente.
Agressive.

Alors que tu te redresses pour surplomber le monde de tes presque deux mètres. Ton corps est une machine, un amas de muscles et de violence que tu as appris à canaliser de peur d’exploser. Un râle agacé s’échappe de tes lèvres, pulpeuses mais abîmées par le temps, sèches et gercées. Mais tu ne t’en préoccupe pas Callista, tu as d’autres choses en tête.

Laisse le feu brûler tes reins et lécher ton derme, attrape-le et viens l’attacher d’une sommaire queue de cheval pour t’en débarrasser le temps de ton travail. Les mèches rebelles viennent enfin dévoiler ton visage, dévoilant une ancienne brûlure beaucoup trop ancienne pour encore cloquer. La peau reste fragile, rougeâtre et malade, tu y fais attention mais pas assez pour la faire totalement disparaître. Le feu de la fournaise se reflète dans ton regard intense, un peu ailleurs et perdu dans ton travail ; comme pour chasser la réalité.

Les plumes crémeuses de tes ailes cachent le derme de ton corps malmené par des années oubliées. Parfois des douleurs refont surface, arrachent des maux dont tu aimerais te passer mais tu fais avec, Callista. Parce que tu n’as pas le choix et que ton corps, ton fardeau, tu dois le porter jusqu’à la fin malgré les années.

Frappe Callista.
Sans jamais t’arrêter.

• • •
a développé une peur des chatrix, qu’elle compare aux corbeaux qu’elle a entendu lors de la mort de son fils • elle ne peut pas en approcher sans que ses souvenirs ne reviennent à la surface • bien qu’elle n’en entende plus sur l’île, les coups de feu sont un autre gros trigger • insomniaque • Pleine d’insécurités • sait se servir d’épées • extrêmement protectrice envers ses enfants, même s’ils sont grands et indépendants • fleur bleue et en manque d’affections, malgré son côté grognon • léger syndrome de l’abandon

Callista belle.
Callista douce.
Callista à la voix forte.
Callista qui fait peur.

Callista qui a du mal à se reconstruire.

Tu te caches derrière un masque, maladroite et hésitante, soucieuse du regard des autres et de tes faits et gestes. L’absence de celle avec qui tu as partagé la majeure partie de ta vie a troué ton estime. Chaque jour tu te poses les mêmes questions, incapable de comprendre si tu es la cause ou non de son départ. Tu t’observes, tu te détestes, tu t’interroges, parfois à voix haute, pour essayer de comprendre. La perte de tes souvenirs n’a en rien aidé ton état actuel ; tu as oublié beaucoup de choses, tu veux te rappeler, mettre des mots sur tes émotions et tes sensations.

Mais tu n’y arrives pas.
Callista muette devant sa propre détresse.

La seule chose qui te reste au final, c’est ta petite famille déjà bien grande. Ils sont ta plus grande fierté et ce pourquoi tu te bats chaque jour, dans l’espoir de les aider à construire un avenir à leur tour. Tu te montres aimante avec eux, attentive et toujours présente qu’importe l’heure ou le temps.

Et pour ceux que tu n’as pas pu sauver tu pleures.
Parce que tu n’as pas été assez forte.

Tu te caches aux yeux du monde, le menton relevé, l’air inquisiteur et fier, pour cacher tes plaies béantes. L’air amoché, le corps cicatrisé, tu te caches, tu te dissimules et tu encaisses. Tu dois être forte, parce que tu as peur qu’on te fasse encore du mal, qu’on t’abandonne à ton triste sort.

Callista inflexible.
Callista inatteignable.
Dans son armure d’insécurité.

Tes épaules, aussi fortes soient-elles, ne sont qu’un fardeau jour après jour. Chaque nuit est un cauchemar où les coups de feu sont rois, bourreaux d’une peur que tu ne contrôles pas. Elles sont courtes et douloureuses, bruyantes et terrifiantes. Alors tu as toujours cet air un peu fatigué Callista, presque mauvais tant tu cherches à te cacher derrière tes faciès caractériels.

Et pourtant, malgré tes peurs et tes craintes tu serais capable de te jeter dans la gueule d’une bête, par instinct, pour protéger ceux dans le besoin.

Histoire

Je ne sais pas.

Tu as inlassablement répété ces mots, presque par automatisme, pour répondre à l’homme faisant les cent pas devant toi, dans cette petite maison de pêcheur. Tu ne savais quoi lui dire pour le rassurer, ton attention toute portée vers la femme assoupie à vos côtés. Tu ne savais plus où donner de la tête, seule dans ton désespoir sans personne sur qui te reposer pour réconforter les deux enfants, déjà adultes malgré tout, à tes côtés.

Vous vous étiez retrouvés là, au bord d’une mer dont tu ne savais rien. Perdue, seule, abandonnée par ta race sans savoir où la retrouver. Tu as cherché de longues heures sur la plage, à ne plus pouvoir respirer, dans l’espoir de trouver des survivants à qui t’accrocher.

Mais rien.
Rien ni personne.

Ni tes autres enfants.
Ni même ta femme.
Et encore moins d’inconnus.

Les seuls êtres que tu as rencontrés, c’est ce couple d’humains, assez vieux, fermiers vraisemblablement, qui avaient pour habitude de promener leurs bêtes non loin de là. Tu n’as pas compris au début, perturbée, secouée par tant de choses vous étant inconnues à tous les trois. Ils n’ont vu en toi, qu’une mère désespérée à l’idée de trouver un logis où mettre ses enfants en sécurité, loin du froid hivernal frappant la côte. En échange vous deviez simplement les aider dans les tâches les plus simples : apprendre à gérer le troupeau avec le chien familial, ramener du bois pour l’hiver et réparer les clôtures endommagées.

Mais tu avais beau avoir trouvé un toit et de quoi nourrir ta progéniture, tu n’arrivais pas à oublier le visage de cette femme, ni même ceux des autres enfants dont tu n’avais aucune nouvelle. Parfois tu venais les rejoindre dans la nuit, un peu par désespoir. Tu te souvenais de choses, mais beaucoup semblaient avoir disparues, comme s’il manquait des pièces à votre puzzle familial.

Tu savais qu’ils avaient une mère.
Une femme forte. Puissante.
Une Golem.

On t’a aidé à remettre des traits sur un nom que tu ne cessais de prononcer.
Nova.

En échange tu leur a rappelé les noms de leurs frères et sœurs, plus âgés. Tu te souviens tu as prié tu ne savais quelle entité pour qu’ils soient en vie, en sécurité avec ta moitié et qu’eux aussi avaient réussi à s’en sortir. De quoi ? Tu ne sais même pas. Tu as essayé d'émettre des hypothèses, chaque jour passant tu lisais les journaux locaux, dans l’espoir de trouver quelque chose, même infime, dans l’espoir de trouver une piste.

Quelque chose à laquelle te raccrocher.

• • •

Tu ne sais pas combien de mois se sont écoulés, la chambre prêtée par ce vieux couple se remplissant petit à petit d’informations, de papiers, de mots, de noms que tu essayais de replacer dans ta mémoire. Il n’y avait pas un jour où tu ne pensais pas à ta femme, aux enfants que tu n’arrivais pas à retrouver. Étaient-ils vivants ? Morts ? Où pouvaient-ils bien être ? Tu n’en dormais plus la nuit, te sentant de plus en plus seule.

De plus en plus abandonnée.

Est-ce qu’elle aussi cherchait à te retrouver ? Où avait-elle simplement oublié ton existence ? Cette éventualité était toujours possible. Tes enfants avaient beau essayer de te réconforter, tu plongeais petit à petit dans les ténèbres à cette idée. Allais-tu finir tes jours ici, dans cette petite maisonnette perdue au bord des côtes, à l’abri des regards indiscrets ? Vous auriez pu et jamais tu ne pourras assez remercier ces personnes d’avoir soutenu tes enfants, mais ce n’était pas la vie que tu souhaitais mener.

Quelque chose manquait, et le plus frustrant c’est que tu n’arrivais pas à comprendre ce sentiment qui ne cessait de te ronger. Tu avais beau revenir chaque jour sur la plage tu ne trouvais rien, pas le moindre signe de vie, pas le moindre indice qui aurait pu t’aider à retrouver un semblant de mémoire.

Rien si ce n’est le bruit des vagues berçant tes songes.

• • •

Vous n’avez pas été les premiers à être touchés par la guerre, votre éloignement de la vie vous préservant le premier mois. La petite télévision grésillante du couple captant à peine les chaines correctement vous a malgré tout tenu informés de la situation. Les choses commençaient à changer et plus les jours passaient plus tu sentais l'étau se refermer sur vous. Tu ne lâchais plus les informations, terrifiée à l’idée de voir un visage que tu aurais pu reconnaître sur les images atroces passant en boucle.

Tu as interdit aux enfants de descendre en ville, inquiète à l’idée qu’il puisse leur arriver quelque chose. Tu as senti le couple nerveux, terrifié par cette guerre sanglante se déroulant derrière l’écran. Tu te souviens de la peur, du déni, de leur appréhension et des propos odieux qu’ils ont pu tenir à l’égard de tes semblables.

Et pourtant, tu t’es offerte à eux.
Parce que c’était ta seule option en tant que mère, pour protéger tes deux plus jeunes enfants.

Ta race ne s’est jamais montrée durant ces six derniers mois, contrairement à ce petit couple qui a accepté de vous soutenir. Ils s’étaient de toute évidence douté de quelque chose, votre physique ne trompe pas l’œil et ils n’avaient pas encore perdu toute leur tête.

Tu te souviens avoir pleuré.
À cause de la pression.
De la peur et de la crainte.

Tu t’es effondrée dans leurs bras, presque frêle en les remerciant.
Tu avais juste besoin d’un espoir, une accroche à laquelle t'agripper. Un endroit où revenir si le besoin se faisait sentir. Vous étiez différents, chacun à votre manière et pourtant vous aviez réussi à vous faire confiance, vous entraidant mutuellement dans les tâches qui pouvaient être pénibles pour l’autre.

Par ta carrure et ta force tu entretenais les lieux.
Et eux en échange s’occupaient d’éduquer tes enfants, probablement déjà plus vieux qu’eux.

Tout ça dans une bienveillance presque idyllique.
Alors qu’en même temps, tu vomissais un égoïsme haïssable, de peur qu’on ne vienne te prendre ce que tu considérais comme acquis.

• • •

Il aura suffi d’un coup de feu pour te mettre en alerte. Les bêtes dans le champ se sont affolées et l’air habituellement si calme s’est rapidement changé en une lourdeur éprouvante.Tu te souviens avoir pris peur, beuglant à ta fille de prendre un sac pour partir devant toi, de l’air effaré du couple comprenant lui aussi que quelque chose n’allait pas.

Tu n’avais rien pour te défendre ; il y avait bien une vieille carabine accrochée au mur mais tu ne savais pas t’en servir et ton instinct maternel a pris le dessus sur toute logique. Tu as couru dehors, hurlant, appelant ton fils.

Les oiseaux se sont envolés au deuxième coup de feu, chantonnant un drame dans le ciel alors que tu as vu ton garçon enjamber la clôture des brebis d’un geste agile malgré ses pas tremblants et boitants. L’adrénaline l’a forcé à continuer d’avancer, la peur chassant toute douleur dans son corps déjà criblé. Tu as tout lâché pour accourir vers lui, dans l’espoir de pouvoir le récupérer et le ramener en sécurité.

Mais un autre tir fendit le ciel dans un craquement horrible.
Le beuglement des hommes armés au loin, fiers d’avoir abattu une bête qui chuta lourdement au sol. La tienne, ta chair, ton fils. L’agitation dans le pré devint de plus en plus palpable, le chien ne cessa d’aboyer alors que ta fille revint vers toi, sans comprendre ce qui venait de se passer.

Tu te souviens être restée inerte.
Debout.
Dans le déni.

Pars.
Pars.
PARS.

Tu te souviens avoir ordonné à ta fille de s’enfuir alors que tu t’es élancée vers le corps sans vie de ton enfant.
Dans un dernier espoir.

Tu l’as récupéré dans tes bras, la voix tremblante, le cœur serré.
Une balle t’aura touché le bras, mais tu n’as pas hurlé de douleur.
Ton cœur saignait déjà trop, il ne pouvait pas plus pleurer.

Tu as gardé son corps contre toi, l’enlaçant en le traînant jusqu’à fuir l’agitation et rejoindre ton enfant. Ta princesse recroquevillée dans un coin, en contrebas de la maison, loin des regards indiscrets. Tu as bercé le corps, l’appelant d’une voix tremblante en espérant le sentir bouger.

Mais rien.
Tu devais bien te rendre à l’évidence.
C’était trop tard.

Tu ne sais pas combien de temps tu es restée silencieuse malgré les larmes, le corps tordu par la douleur en attendant qu’ils partent. Tu voulais te retourner, te venger de cet affront et de cet acte de barbarie sans raison. Vous n’aviez rien fait, rien provoqué et pourtant on venait de massacrer ton fils ; ton tout petit. Tu as entendu leurs rires, leurs moqueries, leurs provocations.

Leur haine.
Se mélangeant à la tienne.

• • •

Tu n’as pas été capable de creuser la terre, tu as laissé l’homme de la maison s’en charger malgré son âge avancé. Tu es restée là, vide devant le corps sans vie dissimulé sous un drapé blanc pur de toute violence. Tu as tenu sa main jusqu’à la fin, en colère contre tout le monde.

Contre toi pour ne pas avoir pressenti le danger.
Contre Nova pour ne pas avoir été là.
Contre cette Terre que tu as aidée depuis ton arrivée.

La femme est venue t’enlacer du mieux qu’elle a pu, silencieuse pour t’accompagner dans ton deuil. Vous deviez partir loin d’ici, parce qu’ils allaient indubitablement revenir pour vous achever ; tu ne voulais pas de ça et il était hors de question de mêler plus longtemps ce couple âgé à vos histoires.

Qu’elle est douloureuse, cette haine flirtant sans honte avec l’affection que tu pouvais porter aux Hommes.

Ta peur tu l’as enterré.
Tes espoirs ont suivi.

• • •

Tu aurais pu te battre, tu l’aurais voulu même mais pour amour pour ta dernière princesse tu as préféré la fuite. Tu t’es cachée sans cesse, la protégeant des vices vous rongeant petit à petit. Tu as tout fait pour lui offrir un confort de vie minimum en espérant un revirement de situation mais vous deviez vous rendre à l’évidence.

Contre les créatures que possédaient les humains, vous ne faisiez pas le poids.

Alors tu t’es rendue.
Honteuse.
Humiliée.
Bafouée.

Mais en vie.

Tu ne voulais plus d’un autre carnage et plus que tout, égoïstement, tu avais peur de finir seule, sans rien ni personne à quoi te raccrocher. Tu t’es muselé, la bête cachant ses crocs acérés prêts à déchirer la pulpe de ces barbares. Ta rage tu as tout fait pour la canaliser jusqu’à passer ce miroir, la main de ta fille fermement ancrée dans la tienne de peur de la perdre à nouveau.

• • •

Tu es arrivée bien après les autres, noyée par une torpeur te serrant la gorge. Jamais tu n’as lâché ta fille, protectrice, maternelle, dépendante de sa présence pour ne pas sombrer. Tu l’as gardé à tes côtés et plus que tout tu as retrouvé le reste de ta chair dans une étreinte dont tu te souviens encore. Tu as pleuré, beaucoup. De joie, de crainte, de peur aussi, tu as hurlé à la lune qu’on te rende tes enfants ; ceux perdus dans cette guerre alors qu’ils n’avaient rien demandé.

Et tu en as voulu à ton ombre.
Ta femme, ta moitié.

Au début, tu as pensé à un drame.
Encore un.
Mais elle préféré fuir et t’abandonner.
Tu as eu besoin d’elle, mais ce sentiment n’était vraisemblablement pas réciproque.

Alors tu t’es concentré sur les trois poupons te restant, déjà grands et indépendants, mais désireux de rester à tes côtés pour vous soutenir, chacun à votre manière. Les années ont beau avoir passé, la haine te rongeant la pulpe petit à petit, tu n’as jamais pris la peine de quitter ce village.

Hors de question de faire comme leur mère.
Qui a de toute évidence préféré fuir ses responsabilités en ces temps si dur.

Tu t’es contentée de frapper le fer, le façonnant à ta manière, loin du sang et de la guerre.

Qui sait, peut-être changeras-tu d’avis si les choses venaient à se bousculer.

HORS-RP


 Sixtine

Comment avez-vous découvert le Forum ? De partenaires en partenaires, par curiosité

Un petit plus ? Un avis sur le Forum ? Clair et direct, j'ai hâte de commencer à rp avec vous, en espérant que Callista vous plaira ♥
Anonymous
Invité
Invité
This is the end, my bitter paradise ; Callista D7wuc9f-ac4b17ce-ab99-44f8-8a47-918991e69c0e.png?token=eyJ0eXAiOiJKV1QiLCJhbGciOiJIUzI1NiJ9.eyJzdWIiOiJ1cm46YXBwOjdlMGQxODg5ODIyNjQzNzNhNWYwZDQxNWVhMGQyNmUwIiwiaXNzIjoidXJuOmFwcDo3ZTBkMTg4OTgyMjY0MzczYTVmMGQ0MTVlYTBkMjZlMCIsIm9iaiI6W1t7InBhdGgiOiJcL2ZcL2U3ZGM2YjQxLWY3MDktNDNlZC05NDdlLTNkYWU0OTllMjc0ZFwvZDd3dWM5Zi1hYzRiMTdjZS1hYjk5LTQ0ZjgtOGE0Ny05MTg5OTFlNjljMGUucG5nIn1dXSwiYXVkIjpbInVybjpzZXJ2aWNlOmZpbGUuZG93bmxvYWQiXX0 Bienvenue !

Quelle histoire ;w;
J'ai hâte de pouvoir te croiser en rp pour en découvrir encore plus sur cette pauvre maman au cœur brisé.
Très bonne validation à toi This is the end, my bitter paradise ; Callista 2302867508
Anonymous
Invité
Invité
Bienvenue officiellement à ta jolie Callista This is the end, my bitter paradise ; Callista 2497283980

Ton histoire est vraiment prenante, j'ai hâte de voir comment elle va évoluer entre ses sentiments contradictoires et surtout la relation avec Nova !
Courage pour la fin de ta fiche This is the end, my bitter paradise ; Callista 3901656475
Anonymous
Invité
Invité
Merci beaucoup This is the end, my bitter paradise ; Callista 1f633 Je pense que tout est terminé, j'espère que le reste de la fiche vous plaira autant que l'histoire !
Anonymous
Invité
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Re !  This is the end, my bitter paradise ; Callista 2497283980
Comme dit plus haut, j'adore ton personnage et ta plume est très agréable à lire, on a du niveau sur le forum  This is the end, my bitter paradise ; Callista 2809016950


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