Hexion
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
28.05.22Fermeture du Forum.
07.05.22Date de réouverture du Forum • Hexion.
03.04.22Maintenance et refonte du forum.
16.03.22Annonce du premier tri des inactifs.
14.03.22Résultats des votes de la semaine.
06.03.22Mini-Event • La saison des amours.
03.03.22Mise à jour des pouvoirs des ailés.
28.02.22Mise en place des missions entraînements.
28.02.22Résultats des votes de la semaine.
31.01.22Les voteurs mis à l'honneur cf. "Les votes".
19.01.22Date de l'ouverture du Forum.
02.01.22Date de la création du Forum.
ANNONCES
IMPORTANTES
LES
PARTENAIRES
Le deal à ne pas rater :
Cdiscount : -30€ dès 300€ d’achat sur une sélection Apple
Voir le deal

When we could run free ? ft. Nova
Page 2 sur 2 Précédent  1, 2
Invité
Invité
« Je t’ai dit que je m’en fous. Il voit qui il veut mais je veux le revoir ici le soir. »

Un peu sévère tu grognes, tu as l’impression de perdre ton temps et ton énergie à essayer de lui faire comprendre de ne pas t’approcher et d’arrêter ses tortures. Tu secoues la tête et tu grimaces en sentant ta main au contact de son ventre. Tu n’as pas envie de te souvenir, de toute façon même avec tous les efforts du monde tu n’y arrives pas. Alors tu te contentes simplement de la jauger, le visage à moitié caché en refusant d’admettre que vous puissiez avoir des petits-enfants, voire même plus.

« Non, je ne crois pas. Je ne suis pas assez ridée pour qu’une nouvelle génération ait vu le jour. »

Ça tu ne l’assumes pas, tu t’es même cachée derrière des tatouages pour ne plus les voir. Mais les signes ne trompent pas, tes cheveux se sont doucement habillés de quelques cheveux blancs et tes traits se sont un peu marqués. Certains golems plus âgés que toi ont plus de chance sur ce plan-là et tu les jalouse presque, les rides doucement creusées inspirent presque une marque de sagesse mais tu n’as pas envie d’être sage.

« On aurait pu continuer si tu ne m’avais pas trahie. »

Tu lui en veux pour quelque chose. Il y a un truc au fond de toi qui t’emmerde, qui t’empêche de pleinement te jeter dans ses bras. Tu ne sais pas si l’amertume partira un jour, mais dès que tu poses tes yeux sur elle il y a quelque chose qui te repousse.

« Il y a de la viande fraîche dans le coin cuisine. Tu dois bien la laver par contre, et la cuire sur le feu dehors. Très longtemps. Mon poison peut résister un peu à la chaleur. » Un peu comme toi tu résistes à celle de Callista. « Fais un bouillon ou je ne sais pas, débrouille-toi madame je me débrouille mieux en cuisine. »
Anonymous
Invité
Invité
« On est vieilles Nova, tu sais moi aussi j'ai quelques cheveux blancs. » Observant les siens tu finis par baisser les yeux en sachant très bien que tu seras la première à l'abandonner. « Je … je serais partie quand toi tu seras toujours là. J'aurais préféré naître Golem, comme ça l'âge n'aurait pas pu me rattraper. »

Ça te fait mal, tu ne veux plus y penser mais tu n'y arrives pas. Tu as peur de la mort, la perte d'Ilan a provoqué en toi des craintes auxquelles tu n'as jamais pensé avant. Tu ne veux pas laisser tes propres et être de nouveau séparée de la belle femme. Et … et si elle trouvait quelqu'un après toi ? De plus attentif ? De plus beau ? De meilleur ? Et si elle fondait une nouvelle famille en repartant de zéro ? « Je ne veux pas qu'on perde plus de temps à s'engueuler. » Tu as soufflé ces mots en te redressant finalement pour venir attacher de nouveau tes cheveux pour éviter qu'ils ne viennent devant ton visage.

« Je ne t'ai pas trahie. Je … je ne sais pas si je suis prête tout de suite, mais si tu souhaites à nouveau relationner avec moi, je ne suis pas contre l'idée d'un nouveau bébé, si tu acceptes d'en discuter avant. » Tu ne voulais pas élever un enfant seule, sans son deuxième parent parce qu'il préfère bouder. Si Nova voulait un bébé, elle allait devoir se montrer digne de toi et de ce que tu es prête à lui apporter.

Allant chercher la viande tu choisis trois beaux morceaux pour finalement abandonner la femme et l'enfant pour sortir dehors. Te posant à côté du feu tu viens l'alimenter, le surveillant en commençant à laver la viande dans le petit ruisseau bordant l'abri à quelques mètres. La coupant en morceaux tu demandes déjà à la faire cuire, préparant les légumes à côté, attentive à la cuisson en laissant tout cuire dans un bouillon que tu viens couvrir. Finalement tu te poses à côté, un peu perdue dans tes pensées en observant les alentours de peur qu'une bête s'approche de trop.
Anonymous
Invité
Invité
Tu roules un peu plus les yeux, tu n’as pas vu un seul cheveu blanc sur son crâne et ce, même après une inspection bien rigoureuse. Ça doit probablement moins se voir que toi avec tes cheveux noirs qui contrastent donc énormément avec cette couleur du diable. Tu serres les poings et tu n’as pas l’air de vouloir penser à ça. Tous les enfants ailés vont subir le même sort que leur mère à un moment où un autre, s’ils ont la chance de partir de raisons naturelles. « Si tu crois que je serai encore envie à ta mort tu te mets la main entière dans l’œil. » Un petit aveu alors que tu essayes de rapidement reconstruire ta carapace pour arrêter de paraître si faible à tes yeux.

Dans un long grognement tu finis par te redresser, tu ne comprends pas pourquoi tu ne l’as toujours pas chassée sauvagement. Peut-être que sa présence est finalement voulue, tu n’en sais rien, tu n’arrives pas à digérer tous les sentiments qui viennent t’assaillir ici et là. Tout te prend te court et ça te donne presque mal au ventre et à la tête à force de ne pas savoir quoi en faire.

« Hmpf. » Tu croises les bras, tu attends qu’elle sorte pour pouvoir ouvrir la porte au petit qui sort enfin de ses pensées. « Elle est partie ? » Sa question t’arrache un frisson. Tu aurais aimé lui répondre positivement mais sa présence se sent encore. « Non. On va aménager un petit endroit loin d’elle juste pour toi, d’accord ? » Et dans un geste affectueux tu viens le tirer hors de sa petite cachette. Tu vois bien qu’il a été perturbé dans son rangement, tu finis par le relâcher pour le laisser faire sa vie.

Tu ouvres la porte, tu sors de cet endroit étouffant. À côté, le feu crépite et le bouillon est déjà en train de cuire. Tu ne dis rien, tu observes l’ailée de loin les bras toujours croisés en griffant nerveusement ton derme. De loin elle est encore plus impressionnante, parce qu’elle a l’air toute aussi grande que de très près.

Finalement tu te rapproches d’elle à pas de loup, tu ne veux pas qu’elle t’entende te faufiler derrière elle pour l’agripper et l’enlacer. Tu poses ta tête épuisée contre le creux entre ses ailes et tu fermes les yeux. Ça fait longtemps que tu n’as pas pu exprimer autant d’affection. Mais tu ne fais pas de commentaires, silencieuse au possible en grimaçant à cause des pensées intrusives.
Anonymous
Invité
Invité
Tu n’as vu que son ombre au dernier moment, un peu surprise de sentir quelque chose t’attraper et se coller contre toi. Mais tu n’as rien dit, te contentant de soupirer de satisfaction en sentant les bras de la femme t’enlacer, son souffle contre ton dos à t’en faire frissonner. Tu fermes les yeux, penchant la tête sur le côté en attendant de longues secondes avant d’attraper délicatement ses mains pour entremêler vos doigts et la sentir un peu plus proche contre toi.

« Artur va bien ? »

Tu parles doucement, comme si hausser la voix risquerait de briser ce moment de quiétude entre vous. Tu ne bouges pas trop, la laissant aller à son rythme sans la brusquer. Tu sais que c’est dur, Nova n’a jamais été très affective physiquement, contrairement à toi. Elle montrait son affection autrement, par les mots et le regard, les petites attentions ici et là. Remuant un peu les ailes tu essayes de trouver une position confortable pour elle comme pour toi en relevant de temps en temps le haut du corps pour te grandir et observer la cuisson du bouillon.

« Et toi, comment est-ce que tu te sens actuellement ? »

Il faudrait qu’elle parle, pour que tu puisses comprendre comment l’appréhender et bien te comporter avec elle. Serrant un peu ses mains sur caresse le dos du bout du pouce, douce et attentive, affectueuse sans l’être de trop en te laissant aller dans ses bras, détendue au possible.

« Tu penses que c’est envisageable si … Je viens deux fois par semaine ? Au début ? Je peux rester un petit peu, pour qu’on puisse reprendre l’habitude d’être ensemble sans trop bousculer nos emplois du temps respectifs. En volant ce sera plus rapide pour moi. Et on peut aménager … Une fois par semaine si deux c’est trop. »

Mais tu aimerais la retrouver de temps en temps, pour reprendre du début et vous tourner autour, comme deux adolescentes en quête d’une histoire à partager.
Anonymous
Invité
Invité
Silencieuse tu ne dis rien, tu la laisses parler sans répondre tout de suite. Tu as juste besoin de te reposer, épuisée autant physiquement que psychologiquement. Tu soupires juste, tu essayes de te faire oublier en serrant machinalement ses mains dans un froncement de sourcil faussement agacé. Non, ça fait vraiment du bien. Mais tu ne veux juste rien assumer.

« Bien. »

Tu ne veux rien préciser, tu n’as pas envie de parler de lui. Tu n’aimes pas parler dans son dos et tu es persuadée qu’Artur serait déçu que tu parles de lui au monstre qui hante parfois ses cauchemars. À ses yeux elle doit probablement être un fantôme venu pour lui faire du mal, et tu es celle qui se met devant pour le protéger. Et cette simple vision te fait sourire… Tu l’aimes bien. Ça gonfle ton égo qui mériterait pourtant de redescendre un peu.

« Je ne sais pas comment je me sens, à part énervée. »

Tout de suite ta prise se fait un peu plus ferme et mauvaise, tu n’aimes pas la sentir bouger et encore moins ses marques d’affection sur le coup. Tu pensais pouvoir en faire sans qu’elle réponde et voilà que tu te retrouves à gronder un peu pour qu’elle arrête.

« Non je ne pense pas que ce soit possible. Tu vas faire faire des crises au pauvre Artur à venir autant. Et qu’est-ce qui dit que j’ai envie que tu viennes ici ? On a construit juste ce qu’il faut pour deux. Et des fois on est même pas là. »

Plusieurs fois ça vous arrive de partir quelques jours quand les ressources viennent à manquer. Et puis il faut bien distribuer le poison ici et là, éviter les prédateurs… La vie de vagabond n’est pas des plus simples. Mais à deux, vous vous débrouillez beaucoup mieux et vous séparer pourrait grandement mettre à mal votre capacité à survivre sur cette île hostile.

« Je ne sais pas ce que tu cherches à faire. Tu as déjà un travail au village. Tu as tout le reste de la famille là-bas. Tu pourrais même te trouver une jolie femme plus jeune et moins chiante. »

Finalement tu la lâches, tu te redresses en te rapprochant du plat en train de mijoter. Tu ouvres une petite sacoche et tu viens ajouter des herbes aromatiques, grognant presque en voyant qu’elle n’avait quasiment rien mis. Meilleure en cuisine ? Pas convaincue.

« Tu oublies toujours le plus important. C’est agaçant. »
Anonymous
Invité
Invité
A ses grognements tu comprends que tu es un peu trop intrusive, de quoi te faire cesser tes petites marques affectives pour la laisser diriger l’instant. Hors de question de la brusquer et la faire fuir, ce geste est déjà un bon début dans vos retrouvailles, il allait falloir que tu te cales sur son rythme pour ne pas trop la bousculer. Souriant malgré le contact trop court à tes yeux tu la laisse s’éloigner, tes yeux posés sur elle pour l’admirer, un air presque béat sur le visage.

« J’aimerais passer du temps avec toi, pour essayer de renouer un peu les liens. »

Tu te doutes bien qu’elle ne souhaite pas te voir, mais tu sens aussi qu’il y a une part d’elle qui refuse toute affection en y restant fermement hermétique. Te redressant pour t’approcher du feu tu l’observes ajouter les herbes, même si ton attention était plus focalisée sur ses gestes et son visage que la nourriture en elle-même.

« Tu m’expliques pourquoi j’aurais besoin de me trouver une jolie femme plus jeune et moins chiante quand je suis mariée à la femme la plus parfaite ? Une femme moins chiante c’est ennuyant, j’aime bien quand il y a un peu de piquant, même si tu es parfois un peu trop épicée. »

Tu pouffes de rire, Nova c’est même pire qu’un peu de piquant, plutôt un piment immangeable tant il vous arrache la gueule. Mais tu avais signé, pour le meilleur et pour le pire. Te redressant tu lui tends une main, un peu hésitante en lui souriant tendrement malgré tout.

« On pourrait rejouer notre première rencontre ? Enfin pour le coup je ne m’en souviens pas alors … on pourrait simuler une première rencontre ? Faire comme si on ne se connaissait pas pour … flirter ? »

Tu avais déjà vu des couples reproduire ce schéma, peut-être qu’il pourrait fonctionner avec vous ? Tu pouvais tester, au pire la femme saura très bien te chasser d’ici en feulant comme elle sait très bien le faire. Te râclant la gorge, la voix un peu hésitante tu sens déjà la gêne grimper en toi en couinant.

« Je … Je peux commencer si tu veux. Ou on peut essayer autre chose, si tu as des idées. »
Anonymous
Invité
Invité
Il ne lui a pas fallu longtemps pour te laisser tranquille et tu te sens presque supérieure sur l’instant, la jaugeant bien comme il faut avant de rouler les yeux. Une fois les herbes bien intégrées tu t’empresses de remuer un peu pour laisser le tout infuser, vérifiant bien qu’elle n’ait rien oublié à côté au cas où. Tu ne supportes pas la nourriture peu assaisonnée et ce serait insultant pour elle que tu ne manges pas plus qu’une bouchée puisqu’elle a oublié le plus important.

« Mais bien sûr. Tu aurais pu faire comme moi et tout laisser de côté, profiter de cette amnésie qui nous affecte pour voir ailleurs. Comme tout le monde. »

Sauf toi, en éternelle solitaire. C’est même étonnant que tu ais réussi à finir en couple avec une femme, et aussi longtemps avec de probables liens aussi forts. Tu regardes sa main et tu couvres de nouveau le plat, la jaugeant un bon coup le temps d’aller chercher un peu plus d’eau pour en rajouter dans le bouillon.

« Tu vas devoir repartir de zéro dans ce cas. Je suis encore trop énervée. » Dans un souffle tu chasses un peu sa main, tu te poses en face d’elle, le plus loin possible. « Je n’ai pas d’idée. Je crois que tu ne te rends pas compte que tu vas beaucoup trop vite. Tu es là depuis une heure à peine. »

Tu fronces les sourcils, tu soupires, tu finis par ramener tes genoux contre ta poitrine et tu attends patiemment que le plat soit prêt à être dévoré en surveillant les alentours de temps en temps. Un prédateur peut sortir d’ici rapidement.

« Tu aurais pu me rapporter une arme forgée de tes mains quand même. »

Artur finit par pointer le bout de son nez, entrouvrant la porte pour vous observer terrifié de la situation.
Anonymous
Invité
Invité
Recommencer à zéro … Tu n’en avais pas envie. Tu étais encore perdue dans le passé, avec l’envie de retrouver tout ce que tu avais avant, du peu que tu t’en souviennes.

« Je ne veux pas aller voir ailleurs. Je ne veux pas te tromper … »

Hors de question de faire comme si elle n’existait pas, Nova n’était pas qu’une simple femme ou une simple relation pour toi, elle était plus : celle qui a accompagné une bonne partie de ta vie, la mère de tes enfants, et bien plus encore. Tu as beau avoir oublié tout le reste, cette partie de ton existence reste gravée en toi, comme une tache indélébile dont on ne peut se défaire.

Voyant qu’elle n’était pas totalement fermée à ta proposition tu ris nerveusement, un peu gênée en te triturant les doigts le temps de chercher un moyen de commencer la discussion. Tu en avais déjà discuté avec une cliente à la forge, d’après ses mots elle avait réussi à renouer des liens avec son époux de cette manière mais c’était de toute évidence beaucoup plus facile à dire qu’à faire.

« Je ne pensais pas te trouver et je … tu aimerais quoi ? » Tu pourras prendre le temps de lui forcer quelque chose durant ton temps libre, spécialement pour elle. Ne remarquant pas l’homme vous observer depuis la porte de la maison tu bégayes toujours un peu en cherchant tes mots pour espérer commencer la conversation.

« Tu fais quoi dans la vie ? Je ne m’attendais pas à trouver une mère et son enfant dans … la forêt comme ça. La vie doit être un peu compliquée non ? Pourquoi est-ce que vous n’êtes pas restés au village ? »
Anonymous
Invité
Invité
Du coin de l’œil tu l’observes et tu ne te gênes pas pour la juger, les sourcils froncés en passant une main dans tes cheveux pour les ramener vers l’arrière. Rapidement tu refais même le petit nœud à l’arrière pour bien les garder en place, le gel fait maison ne convient pas forcément à ta tignasse indomptable et c’est très difficile de les garder dans une belle forme toute la journée.

Dans un soupir tu commences à te lasser d’elle, tu n’en peux plus de voir sa tête alors tu préfères attendre impatiemment de pouvoir dîner et la fuir à travers le pays des rêves. Tu te frottes les yeux, la fatigue commence à se faire sentir à force de ressentir autant d’émotions et de vivre autant d’événements en si peu de temps.

« À toi de me dire ce qui pourrait le mieux me convenir. »

En vérité tu as déjà ce que tu veux. Mais bon, si tu peux te procurer une lame plus pratique, tu ne dis pas non. Tu t’impatientes, tu rajoutes encore un peu d’eau dans le bouillon qui termine rapidement la cuisson du tout. Encore une sorte de ragoût… Ça commence à être chiant, mais tu préfères ça plutôt que de t’empoisonner toute seule.

« Je fais du poison. Et pour faire du poison, je dois me procurer des plantes. Artur m’aide et on chasse. On ne dépend de personne, contrairement à toi. » Tu attrapes une gourde pleine d’eau que tu viens vider à moitié, tu n’as presque pas bu de la journée. « Et je t’ai déjà dit que le village ne me méritait pas. Je les ai bien aidés mais je suis solitaire. Et toi ? Tu aimes faire la belle là-bas ? Tu dois avoir plein d’amis. »
Anonymous
Invité
Invité
Tu tords tes doigts, maladroite dans tes gestes et dans tes mots de peur de la brusquer. Parfois tu attends, cherche la bonne tournure de phrase, la bonne question, la bonne intonation. Tu la sens toujours aussi sèche et agacée mais tu ne veux pas lâcher l’affaire : tu sais que tu peux y arriver.

« Oh moi au village je ne parle pas à … beaucoup de personnes. Je forge des armes et des armures, mais surtout des armes et j’aide partout quand il y a besoin. Donc non je n’ai pas vraiment d’amis, si ce n’est pas du tout. »

Tu n’as pas le temps ni l’envie d’avoir d’autres relations. Celle que tu entretenais avec la femme te sufissait amplement et ce même dans l’état actuel. L'observant, tu baisses les yeux et tente de te rapprocher.

« Je m’occupe des histoires des enfants, pour les aider et les encourager quand ils vont mal. La petite va bien d’ailleurs, même si elle a du mal à s’intégrer. » Haussement d’épaules, te penchant vers le ragoût tu souris en humant l’odeur délicieuse en provenant.

« Et toi, tu croises des gens de temps en temps ? Des vagabonds ou des Veils ? Tu t’entends bien avec eux ? » Jetant un coup d’oeil vers la maison tu espères surtout sonder les alentours pour vérifier que personne ne vous surveille, toujours sur le ki-vif en cas d’attaque surprise. Mais rapidement tu reportes ton regard sur la femme pour t’imprégner de sa beauté dans un nouveau sourire béat et amoureux.

« Tu aimes quoi, dans la vie ? Tu as des passions ? »
Anonymous
Contenu sponsorisé
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum